Notre boutique en 2017

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Boutique de « Mécanique sans Frontières »
Fin Novembre 2016, Laurence qui gérait notre boutique depuis deux ans, nous a quittés comme cela était prévu par son contrat d’une durée de deux ans maximum. Nous la remercions à nouveau pour sa disponibilité, son efficacité, et les contacts sympathiques qu’elle a toujours eus, aussi bien avec les clients de la boutique qu’avec les membres de MécaSF présents là-bas, surtout le jeudi après-midi. Nous lui souhaitons à nouveau bonne chance pour la suite.
Depuis le début du mois de Décembre 2016, Laurence a été remplacée par « Sandrine »
Sandrine à son bureau

Sandrine à son bureau

Sandrine a découvert les lieux et reçu quelques conseils sur la façon de gérer le stock d’affaires présentes dans la boutique, mais aussi sur la nécessité d’accomplir les petites tâches administratives qui accompagnent la vente d’objets au quotidien.
Sandrine a donc déjà pris maintenant son « rythme de croisière », et nous lui souhaitons bonne chance dans ses nouvelles fonctions.

André Cendrez a effectué fin 2016 une mission pour l’Association « AGIR abcd », partenaire de « Mécanique sans Frontières »

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Un adhérent de « Mécanique sans Frontières » en mission technique en République Centrafricaine pour un de nos partenaires, l’Association « AGIR ABCD ».

Dans le cadre d’une mission de l’association « AGIR ABCD », en République Centrafricaine, je me retrouve à Bangui, dans un atelier au bord du majestueux fleuve Oubangui. Ma mission consiste à transmettre aux personnels techniciens les règles de maintien en condition des moteurs « 6 et 12 cylindres » qui équipent les « pousseurs » acheminant les barges et tankers entre Bangui et Brazzaville, d’abord sur le fleuve Oubangui, puis sur le fleuve Congo dans lequel se jette l’Oubangui plus au sud.

Mesure de l’ovalisation d’un cylindre avec des stagiaires.

Moment de détente en fin de formation avec les stagiaires.

La République Centrafricaine, pays enclavé, souffre d’un manque de débouchés sur la mer, par absence de voies routières praticables et de voies ferrées. Le fleuve Oubangui, puis le fleuve Congo, navigables sous certaines conditions de Bangui à Brazzaville, constituent donc un atout précieux pour assurer certains approvisionnements.

Notre camarade Alain Guillouard, membre de « Mécanique sans Frontières » nous rappelle parfois, avec émotion, son passé en RCA : il y a exercé, durant plus de cinq ans, de 1987 à 1993, des fonctions de responsabilité. Sur les 600 km qui séparent Brazzaville de Bangui avec 18 personnes à bord de son chaland, avec ses « pousseurs », ses barges et du matériel spécialisé, il rendait le fleuve navigable en pratiquant en particulier le « dérochement », c’est-à-dire l’enlèvement au fond du fleuve de rochers qui empêchent la navigation en période de « basses eaux ». Ce chaland d’habitation d’Alain s’appelait « AYMES ».

Parti à la recherche de ce bateau d’Alain, je l’ai finalement trouvé posé sur cales pour réfection, sur un site nommé « voies navigables » à Bangui, au bord du fleuve Oubangui.

Quelle émotion pour Alain de revoir en photo ce bateau sur lequel il a navigué et habité pendant environ cinq ans !

Espérons que ce bateau pourra naviguer bientôt à nouveau sur le fleuve…

Très bientôt, Alain nous racontera son histoire, à bord de ce bateau.

André Cendrez

Un de nos très anciens adhérents, le « Père Denoix » décédé fin 2016

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